Il y a ceux qui partent.
Partir, c’est s’éloigner toujours un peu, parfois beaucoup.
Il y a ceux qui partent…
Avec la conscience de partir,
Ou avec l’inconscience du plaisir de quitter.
Il y a ceux qui partent.
Pour ne plus regarder derrière
Sans coup férir et sans prière.
Et il y a ceux qui restent.
Je serai bien de ceux qui partent à la découverte. Surtout avec ce beau soleil. Les couleurs sont splendides.
On dirait vraiment Milan qui aurait atteri à New York avec la neige de Moscou ! 🙂 splendide anyway !
Ca doit être sympa de partir, de rêver, de voir autre chose … Mais pas partir en voyage dans ces boites à touristes, non, partir à l’aventure, quitter l’aventure humaine, se retrouver dans l’aventure animale ou naturelle …
Un peu à la « In to the Wild »!
Marine
Voyager « wild » doit être une aventure exotique et périlleuse mais combien extraordinaire. Une petite blague : ne pouvant plus avoir accès à ces belles aventures, je me trace un itinéraire de touriste dans ma propre ville, tout en cherchant l’exotisme. 🙂
Françoise
En effet, les couleurs se réchauffent et le soleil ajoute un peu d’optimisme à la vision hivernale. Je vois bien la clarté et le chatoiement des tons et des couleurs. Merci.
RV
Je savais bien que le Québec avait ce petit quelque chose d’internationale. Vous me le confirmez 🙂
Pierre R.
En effet, le Vieux séminaire a été construit sous le régime français (en 1687 puis agrandi en 1714, 1850 et 1908), la cathédrale par un architecte américain (James O’Donnell) en 1830 ; les boiseries intérieures sont de Victor Bourgeau et autres, cependant et la Tour de la Bourse par des architectes italiens (Luigi Moretti et Pier Luigi Nervi) en 1963.