Comme l’écrivait le Figaro, « la 14e conférence internationale sur le climat qui se tenait à Poznan (Pologne) s’est achevée au petit matin samedi avec un arrière-goût d’amertume pour les pays en voie de développement, mais les yeux tournés vers Copenhague dans l’espoir d’un accord en 2009 ».
Réaction des groupes environnementaux : « Nous sommes profondément déçus en raison du peu de progrès qui a été accompli ici, a indiqué Stephanie Turnmore, de Greenpeace International. Quatre pays, toujours les mêmes, sont responsables de cette situation, soit l’Australie, le Canada, le Japon et la Nouvelle-Zélande »
Les États-Unis saluent le leadership européen alors que le Canada est élu « Fossile de l’année ».
Depuis quelques années, déjà, le Canada n’a plus, dans aucun domaine, le statut de « héros international ». Stephen Harper n’est pas un « héros » dans son pays, comment pourrait-il l’être à l’étranger ?
Le Québec appuie Kyoto. Le Canada le rejette. Il pleut sur Montréal et sur le Québec. Est-ce une conséquence de notre indifférence ?
Une preuve de plus, s’il en est besoin, que ces deux Nations ont des valeurs différentes et souvent contraires. Nos père croyaient à une synthèse des deux, et ainsi ils sont tombés dans le piège de l’assimilation. Mais on peut encore en sortir.
Je dirais que c’est une conséquence des échanges physic-chimiques entre l’atmosphère et les cours d’eau. (Je plaisante.)
Voici la plus belle définition de la pluie que j’aie lu depuis longtemps !
Bonjour Gilles
Je crois aussi, même si parfois je désespère de voir un jour se concrétiser un vieux rêve, qu’on peut s’en sortir.
Merci pour ce commentaire flatteur.
Pierre R.